27 avril 2009
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En plus d'augmenter sa culture générale, connaître la botanique a un grand intérêt: améliorer sa cuisine. Surtout popularisée (ou devrais-je plutôt dire "médiatisée"?) par Marc Veyrat, la cuisine qui utilise des herbes et plantes sauvages est devenu un moyen de diversifier ses recettes, surtout dans les restaurants "chics" (avec un "joli" paradoxe, qu'on associe aussi aux produits tripiers, où un même produit est soit considéré comme "rustique" et donc péjoratif, soit considéré comme "luxueux" selon l'endroit dans lequel il est servi).
Quoiqu'il en soit, l'Ail des ours (Allium ursinum) est en pleine floraison et son odeur aillée parfume les sous-bois dans lesquels elle peut former de véritables tapis. On peut utiliser la feuille en "pesto" et décorer ses plats avec l'inflorescence comme ici (mais il y a mieux, je n'ai juste pas retrouvé la photo).
Histoire de boucler la boucle entre la botanique et la gastronomie, voilà justement l'Ail des ours observé à La Brède (33) et.... une déclinaison autour de l'ail postée sur le très chouette et créatif blog de Christophe Girardot, chef à la Table de Montesquieu à La Brède (justement).
Quoiqu'il en soit, l'Ail des ours (Allium ursinum) est en pleine floraison et son odeur aillée parfume les sous-bois dans lesquels elle peut former de véritables tapis. On peut utiliser la feuille en "pesto" et décorer ses plats avec l'inflorescence comme ici (mais il y a mieux, je n'ai juste pas retrouvé la photo).
Histoire de boucler la boucle entre la botanique et la gastronomie, voilà justement l'Ail des ours observé à La Brède (33) et.... une déclinaison autour de l'ail postée sur le très chouette et créatif blog de Christophe Girardot, chef à la Table de Montesquieu à La Brède (justement).